Selon une étude Opinion Way, réalisée pour Orange, plus de 8% des Français se disent victimes de fraudes bancaires
Selon Opinion Way, les modes opératoires diffèrent selon le type de fraude et l’âge de la victime. Le mode de contact est assez divers selon l’âge des « cibles » : plus « traditionnel » auprès des seniors, plus digital et « réseaux sociaux » auprès des jeunes. 65% des victimes de fraude bancaire estiment que la récupération des données personnelles s’est faite au moment d’un achat ou d’une réservation sur Internet.
Interrogées sur leurs comportements suite à la fraude, les victimes déclarent être, aujourd’hui, beaucoup plus attentives dans leur usage du digital ou dans leur utilisation de leurs modes de paiement.
« 49% des victimes qualifient le niveau de gêne ressenti d’important (note d’au moins 8/10) et 27% estiment avoir dû réaliser un effort élevé pour gérer la fraude et trouver une solution. Au final 18% des victimes déclarent avoir été fortement gênées et avoir dû effectuer un effort important pour gérer la fraude et ses conséquences. » précisent les auteurs de
Les victimes de fraude bancaire estiment que la récupération des données personnelles s’est faite au moment d’un achat ou d’une réservation sur Internet. Les victimes déclarent être, aujourd’hui, beaucoup plus attentives dans leur usage du digital ou dans leur utilisation de leurs modes de paiement. La fraude a donc a va avoir dans l’avenir un impact de plus en plus fort et prononcé sur le comportement digitaux. La mise en place d’outils de détection et de prévention de la fraude intégrant cette réalité doit donc être anticipée au risque de passer à côté d’évolutions comportementales majeurs.