Le RCS, un canal dans la continuité du SMS ?
CS - Oui, le premier intérêt du RCS, c'est qu'on utilise le même opt’in que pour les SMS, donc on n'a pas besoin de demander un consentement supplémentaire aux consommateurs. C'est un premier côté vraiment positif.
Le deuxième, c'est qu'on était un peu frustrés par le SMS et ses 160 caractères, sans possibilité de rajouter nos univers de marque.
Et là, avec le RCS, on peut rajouter beaucoup d’informations, des clics to action, des images, des GIFs, dans le respect du branding de nos marques.
Une première campagne RCS réussie ?
CS - En partenariat avec Link Mobility, nous avons conçu un chatbot répondant aux questions de nos consommateurs sur leurs problématiques de peau, afin de leur recommander les bons produits et les bons contenus.
Nous avons testé ce dispositif sur RCS mais également en Rich SMS, avec un lien renvoyant vers un chatbot sur le web.
Nous avons d’ailleurs observé une différence d’engagement assez colossale entre les deux environnements, avec environ 4% de taux de clic sur le SMS, et jusque’à 68% sur le RCS.
Le RCS, un futur canal transactionnel ?
CS - Avec l’arrivée de l’iPhone, le RCS Business Messaging n’en est qu’à ses débuts.
Nous allons pouvoir tester de nouvelles technologies et de nouvelles choses. Rien n’est exclu.